De notre côté du globe, le printemps nous gratifie de sa présence. L’équinoxe est passée et le Covid, presque. Ouf, on respire. Sauf que d’autres sérieuses préoccupations ont pris la Une.
Des problèmes, il y en a et il y en aura toujours.
Aussi il est intéressant au niveau personnel, de profiter de la période pour reprendre des forces, de la lumière, un contact nourri avec la nature qui s’éveille, pour s’ancrer plus durablement dans la présence. Dans cet espace sans cesse renouvelé du présent qui est le seul lieu d’où l’on peut créer consciemment nos réalités de demain.
En effet, comme vous le savez, dès que l’Esprit s’agite, cela correspond dans notre pratique de Transurfing (qui nomme ainsi le mental/ego), à une apnée, à un petit sommeil pendant lequel nous sommes menés par le bout du nez et non créateurs d’une réalité librement et consciemment consentie. Dès que l’Esprit se perd dans les couloirs du temps, la présence et donc la puissance de l’Observateur, est perdue. Les préoccupations, anticipations, regrets ne sont que ça, des balades mentales dans les couloirs du temps. Quand on y regarde bien, dans le présent, il est assez rare que rien n’aille, comme l’Esprit tente de nous le faire croire quand il se fait du mouron.